Chemineurs-Diebolt*, cet espace est le vôtre, le nôtre.
Vous avez tous reçu un exemplaire du tome 0 de la saga « Les Lumière d’Altérion ».
Vos avis, commentaires, etc …sont bienvenus…et recherchés!
Une perspective critique constructive donc, mais bienveillante à partager. Un jeu de questions-réponses entre « Chemineurs-Diébolt » d’une part et entre Chemineurs et l’auteur, Jean-Claude Diébolt, d’autre part…..A noter que les réponses aux commentaires par Jean-Claude Diébolt feront l’objet d’articles.
RAPPEL : il n’est pas nécessaire de vous inscrire pour laisser un commentaire. Il suffit en somme d’oser penser, selon la définition kantienne des Lumières et de vous lancer!
*Qui sont les « CHEMINEURS-DIEBOLT »?
Que sommes nous?
Pour l’auteur, les « Chemineurs-Diébolt » appartiennent – dans le monde réel – au groupe des « pionniers » (décrits au travers des personnages de la saga) qui cheminent ou ont cheminé auprès de Jean-Claude Diébolt ou de l’association « Cheminements-Solidaires ». Voici la liste des différentes catégories/activtés des pionniers, certains parmi vous se retrouveront dans plusieurs d’entre-elles.
- Formateurs : en sciences et sur le jugement critique à exercer
- Enquêteurs : dossiers sur la caste de 1810 milliardaires
- Exploreurs : rencontrer des peuples encore isolés pour s’inspirer de certaines de leurs traditions
- Chemineurs : rencontrer des novateurs solidaires pour les relier entre eux et faire reconnaître leurs apports
- Prospecteurs : animer un territoire pour y implanter des expériences citoyennes de développement harmonieux
- Créateurs : se livrer à un art qui, par la beauté, fasse ressentir les impasses modernes et popularise des actions qui y remédient
Bonjour Jean-Claude
Voici mon premier commentaire;
Présentation du livre : Le format 14,8 X 21 (environ) me semble bien adapté vu l’épaisseur du livre. Je pense à celles et ceux qui lisent au lit (sans rire). Un format plus grand est vite inconfortable. (personnellement, je n’avais pas pensé à cela lors de l’impression de mon premier livre et j’ai tenu à ce que les suivants soient dans le même style. Il est vrai qu’un format plus petit aurait permis de faire des économies, selon l’avis de Méhannec. Comme ce n’est pas l’aspect financier qui m’a poussé à éditer, je m’en moque un peu).
La couverture me plaît beaucoup ( j’y vois la nébuleuse Edénia qui vient éclairer notre planète ! Faut me laisser ce rêve sorti de ton grenier.
La police : la taille est bonne. Le texte intérieur se lit très bien. La longueur des lignes de 9,4 cm correspond sans doute aux normes recherchées par les pros pour le confort visuel ?. Ce n’est pas pour rien que les journaux écrivent en de nombreuses colonnes .
Le quatrième de couverture :
En trois couleurs, c’est une bonne idée MAIS, il y a largement la place pour adopter une police plus grande. Ne pas oublier que c’est d’abord cette page de couverture est la plus lue. C’est souvent elle qui attire d’abord le lecteur ou qui le fait abandonner.
Les deux premières phrases mériteraient être réécrites à l’intention de n’importe quel lecteur profane.
« Une singularité astrophysique » « des êtres pétris d’éthique » « recherches rationnelles », ça fait beaucoup pour débuter, même si ce sont les termes les mieux adaptés. A toi de voir. Je ne suis pas pétri de linguistique, moi !
Je sais que le mode de diffusion que tu as choisi est différent de celui des librairies ou cercles culturels des grandes surfaces qui proposent une manipulation directe à leurs clients.Mais comme je me suis juré de t’être utile, je vais te sortir des âneries au milieu, j’espère de quelques remarques utiles. On peut rêver, non ?
Enfin, le découpage des chapitres en parties est-il adapté, je ne sais pas. Il faudrait quand même que je lise avant d’énoncer des réserves non justifiées. Il faut que je lise d’abord.
Toutefois j’ai compté 20 parties dans le chapitre 1. Si chacune des parties signalées par trois points placés en triangle était sous-titrées très brièvement, le lecteur aurait des points de repères. C’est quelquefois difficile car il ne faut pas déflorer le contenu, mais utile quand même pour rompre « quelque chose » (rythme, monotonie, passer à un autre aspect etc…)
Par contre , j’ai remarqué l’utilisation fréquente de l’écriture en italique, comme je n’ai pas encore lu, je devrai patienter. En fin, je n’ignore pas le fait qu’un vrai éditeur imposera ses choix de pagination, de couverture etc…mes remarques actuelles disparaîtront d’elles-mêmes.
Je commence à lire…..enfin
Les 10 premières pages sont agréables à lire. La situation est bien exposée. D’un côté les terriens et de l’autre les Edéniens curieux, super informés, ultra-rapides et avec des intentions pacifiques.Des pages qui me font à nouveau lever les yeux, quitter le texte et revenir à mes vieux démons. (je ne suis pas le seul à penser des choses comme cela , sans le dire ouvertement) Et si de tels êtres venus d’ailleurs venaient un jour nous coloniser… ?.D’autre part, je fais partie de ceux qui ne croient pas dur comme fer que les Américains soient allés sur la lune. Pourquoi n’y sont-ils pas retournés ? Hein ?
Faudra quand même que je lise la page 11…. !
Roger
Bonjour,
Voici mes remarques sur votre livre, que vous m’aviez confié.
J’ai cherché sur internet et je n’ai trouvé que cette définition : Altérion est une solution probiotique pour la volaille
Au début, j’étais un peu déconcerté par les travaux effectués en Inde (de quoi s’agit-il exactement ?), par les termes inconnus ou mal connus (comme un haveli), et par des personnages mal définis (je parle de leurs activités). On a donc un peu de mal à rentrer dans le livre au début.
Les recherches de Charles Bernave, mathématiques, ne sont pas évidentes à saisir.
Page 36, « la démission inavouée face aux sciences ». Je ne suis pas tout à fait d’accord. Je pense que ce sont surtout la littérature, la culture, l’histoire qui sont les plus sacrifiés, au nom de la rentabilité… et la science, mais en tant que telle (dans le domaine de la recherche pure), si elle n’est pas au service de l’industrie.
Page 56, le deuxième paragraphe « Pour son séjour en Inde… » est une répétition. Vous redites la même chose qu’à la page 54 dans le paragraphe commençant par « La gentillesse assurée de son sourire… »
Idem page 423, premier paragraphe. Une phrase est identique au premier paragraphe de la page 390.
Nous sommes face à une multitude de lieux, à une multitude de personnages, à une multitude d’entités.
C’est un mélange de science, de science-fiction, de philosophie, de politique de sociétal et de social.
La dimension scientifique est bien entendu très importante, et détaillée, qui risque peut-être de désorienter le lecteur, je ne sais trop.
J’ai parfois le sentiment que vous vous adressez souvent au lecteur comme si c’était évident, sans autre explication pédagogique (page 387 par exemple, avec le paradoxe d’Olbers).
A contrario, j’aime beaucoup l’idée de soumettre l’économique au politique (c’est bien, hélas, le contraire. Les politiques abandonnent le pouvoir à l’économie). Et j’ai été séduit par votre idée d’isocratie. Elle me fait d’ailleurs penser à l’isonomie, d’une certaine façon.
En tout état de cause, l’auteur maîtrise parfaitement son sujet. Son livre a été largement pensé et structuré. Bref, ce livre interpelle, désoriente, mais il aborde tous les sujets et nous rend curieux. On ne sait pas trop où tout cela va nous mener, mais c’est intriguant, c’est certain.
Sur le plan purement pratique, rien ne vaut des chapitres, et pas trop longs si possible (exemple de la page 89 à126 avant de pouvoir marquer une pause). Le système d’étoiles ne compense pas.
Je note aussi que la table des matières est différente des chapitres (les titres)
J’apprécie beaucoup le temps présent. Vous verrez dans le livre les petites corrections typographiques que je suggère.
Si j’ai bien compris, cette saga n’est possible qu’à la condition de la rendre collective, avec une équipe de Chevaliers, de sorte qu’elle continue après la disparition de chacun. Une sorte de saga ininterrompue, sans fin, comme l’infini de l’univers. Vous cherchez par conséquent des Colporteurs. Est-ce bien ça ?
Et ce premier tome n’est qu’un brouillon, le prototype d’un futur et immense ouvrage. Me suis-je trompé ?
Bien cordialement
Bertrand Coudreau
Bonjour Bertrand,
Et mes plus vifs remerciements pour vos commentaires à mon Tome 0 des “Lumières d’Altérion”. ” Je peux apporter quelques éclaircissements, en suivant l’ordre de vos remarques par commentaires distincts.
VOS “Les grands destins du Prytanée” ont été lus attentivement, épluchés, répartis entre “connaissances, technologies, guerres, artistes”, et autres. Ils seront intégrés aux chapitres : j’espère que nos échanges dureront, pour vous interroger sur leur utilisation !
Bien à vous
Jean-Claude DIEBOLT
Je me jette à l’eau.
25 pages seulement. Un cheminement de lecture lent. Dans le métro ou le train, symboliquement, et lorsqu’il m’a été donné de m’assoir. Ce qui est rare !
Un premier sentiment, inattendu pour un livre : celui de la générosité. Celle du livre que je reçois comme un cadeau, celle des premiers personnages rencontrés, celle de l’auteur pour ses « personnages et leurs innovations ».
La lecture est fluide, rythmée par petites doses d’expressions lettrées dont il ne peut se départir et que je reçois personnellement comme une marque de respect à l’égard de lecteurs comme moi non érudits. Connaissant l’auteur, l’on aurait pu s’attendre à une écriture plus complexe, scientifique, accessible aux seuls «chemineurs ».
L’univers m’a fait penser à celle de Tolkien. Mais ici, à la différence de l’univers inventé par Tolkien nous faisons un voyage au cœur d’une altérité réelle, celle mis en lumière par Altérion : « l’autre solidaire ». Un « espace du Milieu », des initiatives, des personnages existants et que cette saga, sous la plume de JC, met en lumière et qui invite à la curiosité, à explorer le « livre des possibles ». A quoi fait référence le nom d’ALTERION ?
Même si l’on peut s’interroger sur la raison de l’intervention d’extraterrestres pour mettre en lumière les expériences solidaires terrestres, ne sont-ils pas mieux placés pour avoir, d’où ils nous regardent, une vision globale tout en explorant les initiatives solidaires locales ?
Captivant : A en oublier de sortir à la bonne station de métro ou de train. Pris par la lecture ou dans des pensées par les questions philosophiques que ce livre soulève. N’est pas là la raison d’être de la curiosité de ces « autres » venus d’Edénia ?
Bref, un début enchanteur qui a suscité, pour ce qui me concerne, le besoin de créer un blog en écho et plein de questionnements que l’auteur ne manquera pas d’éclairer avec bienveillance de ses Lumières !
Cardabella, chemineuse et membre de Cheminements-Solidaires, l’asso
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